Dans tout l’Hexagone

Bien qu’ayant une mauvaise réputation, le millésime 1941 peut pourtant être très bon. Marqué par un bel été, malgré une réapparition du mildiou en Bourgogne, les vignes étaient saines.

À Bordeaux

Une année caractérisée par une humidité abondante et des températures relativement fraîches, ce qui a donné naissance à des vins médiocres qui tendent souvent vers la maigreur. Les Sauternes n’ont pas non plus été épargnés, présentant des vins maigres, assez secs et manquant de maturité.

  • Rouges rive gauche : petit
  • Rouges rive droite : petit
  • Blancs secs : mauvais
  • Blancs liquoreux : mauvais

En Bourgogne

L’hiver et le printemps furent froid, puis l’été frais et pluvieux favorisant le développement du mildiou. Septembre continu dans la même lignée, les vendanges d’octobre donnent de petits vins. Certains grands climats, comme le Clos des Lambrays, sont remarquables sur une année légère, et donnent des vins peu colorés au caractère original.

  • Rouges : petit
  • Blancs : petit
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